A l’occasion de la Journée internationale des Nations unies pour le soutien aux victimes de la Torture, le 26 juin, Norbert Basumba Bolumbu, directeur général de l’Agence de Diffusion du Droit international humanitaire en Afrique centrale (ADDIHAC [1]), membre du RAFAL, a diffusé un communiqué de presse rappelant qu’en dépit de son interdiction « par différents instruments juridiques internationaux (…), la pratique de la torture continue d’avoir droit de cité dans de nombreux pays, notamment en RD Congo ». A l’occasion de la journée mondiale contre la torture, « l’ADDIHAC demande aux Etats où la torture est encore en vigueur de mettre fin à cette pratique inhumaine qui réduit la dignité humaine à néant » et constitue « une violation des droits de l’homme en temps de paix et un crime de guerre en temps de conflit armé. »